Dans le tumulte de nos vies, au court desquelles on ne prend pas forcément le temps de s’écouter, de se comprendre, de repérer quand ça va moins bien, ou quand ça flanche, la pratique sophrologie représente une bulle pour se poser, se ressourcer. Une pause personnelle pour laisser grandir la conscience de soi, de son vécu de ses impacts et la conscience de ses possibilités d’évolution. Une pause pour observer, une pause pour récupérer, une pause pour mieux avancer.
Je m’souviens de ce rendez-vous pris, la promesse d’une pause d’un répit, du repos pour mon esprit, comme une bulle au milieu du bruit, au milieu de la furie, mais quelque part un coin de paradis, m’attendait comme une feuille blanche, une feuille blanche…
J’ai découvert ce trio d’artiste à travers leur chanson « tailler la route » que j’ai trouvé magnifique d’authenticité et de complémentarité. C’est ainsi que j’ai eu envie de découvrir leur inspirant album : « Ephémère ». Il nous ouvre la porte avec « on a pris le temps »… A l’écoute attentive des paroles, mon esprit ne peut s’empêcher de créer des ponts avec la sophrologie et ce qui amène les gens dans nos cabinets. Ce fameux besoin de se poser et de faire le point.
Et là au milieu du monde pour que la vie réponde on a pris le temps Et là au milieu du monde allongé les secondes on a pris le temps…
Le trio à Taratata (2022)
Certainement que vous aussi, vous avez déjà entendu et peut-être même adopté des chansons à connotations sophrologiques. Et peut-être aussi, que vous aurez plaisir à les partager en commentaire. Pour ma part, je m’imagine déjà chanter et faire chanter ce doux refrain « et là, au milieu du monde…on a pris le temps ». Ces quelques vers, comme une conclusion collégiale, dans la gratitude vis à vis de soi, d’avoir pris le temps et vis à vis du groupe pour l’avoir fait ensemble. Aussi bien à la fin d’un atelier ou d’une simple séance de sophrologie que ça soit en entreprise ou ailleurs. Bref, vous l’avez compris, j’aime cette chanson et j’ai bien l’intention de la transmettre aux groupes que je vais accompagner.
Pour clore ce petit article, je tiens à chaleureusement remercier les artistes : Grand corps malade, Gaël Faye et Ben Mazué. Merci messieurs d’avoir pris le temps et de nous encourager à le faire et à chanter.
Complètement résonnant pour moi. Merci Nathalie pour ce partage